Dimanche 1er octobrebre
Messe chantée à 10h30
Lundi 2 octobre
Messe à 9h30
Enseignement à 10h15
Adoration eucharistique de 11h à 12h
Mardi 3 octobre
Messe à 9h30
Enseignement à 10h15
Adoration eucharistique de 11h à 12h
Mercredi 4 octobre
Pas de messe
Jeudi 5 octobre
Pas de messe
Vendredi 6 octobre
1er vendredi du mois
Chemin de Croix à 18h15
Messe à 19h
Adoration eucharistique toute la nuit
Samedi 7 octobre
1er samedi du mois
Messe à 11h suivie de
l'enseignement de la Milice de L'Immaculée
et renouvellement de la consécration des Chevaliers.
Dimanche 8 Octobre
18è dimanche après la Pentecôte
Solennité du très Saint Rosaire
Messe chantée à 10h30
Suivez le calendrier liturgique ainsi que la messe sur votre smartphone avec l'application ORDO.
Pour chaque messe, de semaine ou du dimanche,
on peut suivre en français ou en latin
en défilement avec le propre du jour.
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Avertissement concernant cette revue de presse. Les catholiques ne sont ni de droite, ni de gauche, ils sont d’En-Haut.
Ici, pas de “prêt à penser” ; pour ce qui est factuel, les sources des informations diffusées sont croisées et leur choix déterminé par leur absence dans les grands médias nationaux. Pour le reste, faites confiance à votre liberté d’enfant de Dieu, l’Esprit Saint vous alertera sur les bêtises qui auront pu y être écrites !
13/09/2023
L’importante équipe dirigée le Pr Jacob Hanna et comprenant notamment les chercheurs Bernardo Oldak, Emilie Wildschutz et Vladyslav Bondarenko, affirme dans un article publié le 6 septembre dernier par Nature avoir trouvé ainsi un moyen d’étudier les premiers stades de développement de l’embryon dans la période qui correspond à la période suivant l’implantation dans l’utérus, qui était jusqu’ici inaccessible à la recherche « en raison de défis éthiques et techniques ». Mais s’agit-il vraiment d’une avancée éthique, ces embryons ne pouvant être considérées comme effectivement humains, ou ont-ils ouvert une nouvelle boîte de Pandore en permettant d’envisager une nouvelle transgression, la création d’embryons à part entière sans la moindre intervention de cellules reproductrices ?
L’objectif affiché, comme toujours, est bon sur le papier : étudier les raisons des échecs précoces de la grossesse, et avoir une meilleure connaissance du développement embryonnaire, avec à la clef d’éventuelles pistes pour éviter des anomalies congénitales, traiter l’infertilité ou permettre la culture de tissus et d’organes de remplacement. Mais à quel prix humain ?
Certes, ce qu’ont obtenu ces scientifiques a été qualifié par eux de « modèles » comprenant une morphogenèse organisée dans l’espace de tous les tissus embryonnaires et extra-embryonnaires du conceptus humain après l’implantation : ils affirment avoir obtenu un tel modèle « récapitulant la quasi-totalité des lignées et des compartiments d’embryons post-implantatoires humains, y compris l’épiblaste, l’hypoblaste, le mésoderme extra-embryonnaire, et le trophoblaste », le tissu externe qui entoure l’œuf fécondé et lui permet de s’attacher à la paroi utérine.
Cela veut-il dire que l’embryon est complet, et que ce modèle à une identité individuelle et, en puissance, la capacité de se développer complètement en tant que tel ? Cela n’est pas clair d’après l’abstract de l’étude ; s’il est question de « quasi-totalité », cela ne permet pas de savoir s’il manque quelque chose d’essentiel ou non à une possible « humanité » de cet être qualifié par l’étude, dans son premier stade, « amas de cellules ».
La technique employée par l’équipe israélienne a consisté à utiliser des cellules humaines adultes et que l’on avait fait revenir au stade de cellules pluripotentes – capables de se développer pour donner un grand nombre de types cellulaires, ou bien des cellules obtenues à partir de lignées de cellules souches cultivées depuis des années en laboratoire. Il peut s’agir dans ce dernier cas de lignées de cellules souches embryonnaires typiquement obtenues à la suite d’avortements. Au moyen d’une technique développée par le Pr Hanna, les chercheurs ont ajouté une phase de reprogrammation pour faire remonter les cellules au stade de cellules totipotentes, dit l’« état naïf », où ils peuvent évoluer vers n’importe quel état.
C’est l’état des cellules que donne l’œuf naturel fécondé au jour 7 après la fécondation, jour qui correspond au moment approximatif de l’implantation. Il est aujourd’hui communément affirmé que la grossesse ne commence qu’après l’implantation – en tout cas pour nier l’effet abortif des pilules contraceptives et des pilules dites du lendemain qui empêchent cette nidation de l’embryon. C’est faire fi d’une réalité : avant la nidation, l’œuf fécondé est déjà porteur du « message de la vie », la combinaison de l’ADN paternel et de l’ADN maternel qui s’assemblent pour donner l’ADN unique de l’être individuel qui se forme dès l’instant de la fécondation.
Voilà qui permet d’ores et déjà d’avoir au moins des interrogations quant au caractère éthique de la création de modèles embryonnaires par cette équipe dirigée par Hanna.
Celle-ci a fabriqué un grand nombre de ces cellules « naïves » qui ont été mélangées ensemble dans un environnement spécial. L’équipe a observé qu’elles se rassemblaient en amas, dont 1 % se sont « auto-organisés » en structures complètes ressemblant à des embryons.
Ces « structures ressemblant à des embryons, obtenues à partir de cellules souches », dits « SEM » se sont ensuite développées pendant 8 jours pour atteindre un stade équivalent à celui obtenu au terme de 14 jours de développement embryonnaire, date à laquelle l’embryon acquiert des structures internes leur permettant de développer les premiers stades des organes corporels.
Le Pr Hanna assure que les premières études de ces « modèles » ont déjà permis de constater que si le développement des cellules placentaires ne se fait pas correctement au jour 3 (correspondant à 10 jours pour l’embryon obtenu naturellement), les structures internes ne se développeront pas par la suite.
« Un embryon n’est pas statique. Il doit avoir les bonnes cellules dans la bonne organisation, et il doit être capable de progresser : il s’agit d’être et de devenir », note ainsi Hanna.
Saint Thomas d’Aquin aurait parlé d’acte et de puissance. Et lui qui n’avait pas les connaissances de la génétique moderne, se serait sans doute émerveillé devant la complexité de la toute première cellule d’un être humain, l’œuf fécondé, au sujet duquel Jérôme Lejeune affirmait : « Au commencement il y a un message, ce message est dans la vie, ce message est la vie. »
Le Dr James Briscoe, dirigeant principal de groupe et assistant directeur de recherche du Francis Crick Institute de recherche biomédicale, rend compte de l’ambiguïté de cette nouvelle technique en la commentant de manière très prudente :
« Ce qui est important dans cette recherche, c’est qu’elle ouvre une fenêtre sur la période du développement humain où de nombreuses grossesses échouent et qui a été très difficile à étudier jusqu’à présent.
« Techniquement, les chercheurs ont créé un modèle d’embryon humain précoce – un groupe de cellules qui se comporte comme un embryon mais qui ne peut pas se développer en tant que tel – à partir de cellules souches. Ce qui est intéressant, c’est que cet embryon dérivé de cellules souches intégrées semble produire tous les différents types de cellules qui forment les tissus à ce stade précoce du développement, sans qu’il soit nécessaire de procéder à des modifications génétiques, comme c’était le cas lors des tentatives précédentes. Le processus est encore très inefficace, mais il s’agit d’une étape importante.
« La production de modèles d’embryons de cette manière soulève bien sûr de profondes questions éthiques et juridiques, car il n’est pas certain que le cadre juridique actuel, qui régit l’utilisation des embryons issus de la fécondation in vitro (FIV), s’applique aux modèles d’embryons produits au moyen de cette nouvelle méthode. D’une part, les modèles d’embryons humains fabriqués à partir de cellules souches pourraient offrir une alternative éthique et plus facilement accessible à l’utilisation d’embryons humains issus de la FIV. D’autre part, plus les modèles d’embryons humains dérivés de cellules souches sont proches des embryons humains, plus il est important de disposer de réglementations et de lignes directrices claires quant à leur utilisation. »
Pourquoi le Pr Briscoe parle-t-il d’« un groupe de cellules qui se comporte comme un embryon mais qui ne peut pas se développer en tant que tel » ? Parce que cela est impossible en raison de la structure propre de ces groupes de cellules ? Ou parce que la technique ne permet pas encore d’obtenir une structure capable de se développer ? Ou parce que ces « modèles d’embryons » ne sont pas implantés ?
Il souligne en tout cas que ces « modèles d’embryons » peuvent être très proches des embryons humains. Autrement dit, on joue déjà avec la vie, fût-ce en prenant le simple risque de créer des individus sans l’intervention d’un père et d’une mère, en « cultivant » des cellules souches. Toutes porteuses d’un même ADN ? (On voit mal comment il pourrait en être autrement, car on imagine mal un modèle d’embryon composé d’une sorte de soupe d’ADN…)
On arriverait là à des niveaux de transgression inédits, qui pourraient aboutir demain à dissocier totalement la procréation de sa dimension humaine. Le rêve des transhumanistes, assurément.
07/07/2023
À l’aumônerie d’une grande université parisienne, Inès, 20 ans, témoigne le sourire aux lèvres avec une joie communicative et un brin d’humour. Aujourd’hui, la jeune femme est catéchumène et chemine vers le baptême. Rayonnante, Inès semble épanouie dans sa nouvelle vie de catholique. Certaine d’avoir choisi la bonne voie, elle confie : « Les discussions avec moi au bout de 5 minutes retournent sur des questions de foi… de façon assez inexplicable ! » Depuis cet été, elle a découvert l’évangélisation de rue. « Il s’agit d’aller à la rencontre de quelqu’un comme le Christ vient à la rencontre de quelqu’un. » S’opposant aux discours « vis ta vie tant que t’es heureux », la jeune fille est convaincue que ce qui rend vraiment heureux, c’est le Christ ! L’étudiante est aussi très investie dans l’aumônerie de son école. Pour Inès, la foi est un cadeau précieux qu’elle veut partager, et elle incarne cette grâce au quotidien par la joie qu’elle transmet.
Mais Inès n’a pas toujours été catholique. Élevée dans l’islam depuis sa naissance, la jeune femme ne doute pas, jusqu’en 2021, que la confession musulmane est la bonne. « S’il fallait croire en Dieu, c’était par l’islam, et pas ailleurs », se souvient-elle. La foi de cette brillante étudiante en philosophie était surtout intellectuelle. En relisant sa vie, elle réalise aujourd’hui que les expériences de foi qu’elle a connues étant enfant sont le signe que Dieu la préparait depuis longtemps à sa conversion. Elle se rappelle qu’à 7 ans, elle est dans une voiture avec son oncle quand tout à coup, elle est « complètement frappée par la foudre ». Elle a alors le sentiment d’être « prise dans la puissance de Dieu ». Ces moments se reproduisent à plusieurs reprises lors de son adolescence, période marquée de doutes. Inès raconte : « Dans ma vie d’avant, j’ai eu des moments de vraie aridité spirituelle. » Avec le recul, la jeune fille arrive à mettre des mots sur ses périodes de doutes. « Je me suis éparpillée dans des tas de direction en croyant me chercher moi, sans voir qu’en amont il y avait un autre problème. Celui de savoir qui Dieu était pour moi, le rôle qu’il jouait dans ma vie et qui j’étais par rapport à lui, une question à laquelle l’islam ne donne pas de réponse. »
Aujourd’hui, tout est plus clair pour Inès, qui a trouvé dans le catholicisme des ressources inestimables. Alors qu’elle avait « un peu une foi d’intello » auparavant, la conversion d’Inès a d’abord été spirituelle. Elle réalise que « sa façon d’habiter sa propre intériorité n’est pas du tout la même » depuis qu’elle est chrétienne. Sa foi est beaucoup plus incarnée, sa relation à Dieu elle aussi a beaucoup changé. Particulièrement sensible au mystère de la croix, elle se sent en permanence accompagnée par Dieu, notamment dans la souffrance. Appelée et touchée par le Christ, elle explique : « Jésus, c’est la personne de la Trinité qui m’a réconciliée avec Dieu. »
C’est en première année de prépa littéraire, alors qu’elle traverse une épreuve particulièrement difficile, que la vie d’Inès prend un tournant considérable. A ce moment-là, la jeune fille rejette Dieu, le rendant responsable de sa douleur. « Si Jésus n’était pas venu me sauver, je pense que j’aurais fini par perdre la foi », conclut-elle aujourd’hui. Un jour de profond désespoir, elle entre dans une église. Le regard fixé sur une croix, elle ne « voit » rien, mais elle entend. Aussi sûrement que si quelqu’un lui parlait, elle sent que Jésus lui propose de tout lui déposer : « Tu n’es pas obligée de porter ça. » À l’instant où elle sort de l’église, Inès sait bien que « quelque chose a très brutalement changé ».
Quelque temps après sa première conversion, Inès fait de nouveau face aux épreuves et à l’incertitude. Une nouvelle fois, le Christ vient la chercher « d’une manière un peu différente de la première fois, qui était très belle et très gratuite ». C’est alors qu’elle se dit : « tant pis pour les parents ». Elle tombe sur cette parole : « Qui met la main à la charrue et regarde en arrière n’est pas propre au royaume de Dieu », qui résout tout pour elle. « On n’a pas coupé les ponts, mais ça n’est pas simple. » Les rapports sont compliqués avec sa famille, toujours musulmane pratiquante. Inès prie tous les jours pour leur conversion, ainsi que pour celle de tous les musulmans. Le sens de la communauté propre au christianisme, elle le vit donc avec ses amis et son aumônerie. « Cette joie de partager la foi avec les frères, le corps, la communion des saints qui permet le lien », elle ne l’avait pas dans l’Islam, « religion assez individualiste ».
Aujourd’hui, Inès lit régulièrement des vies et des écrits de saints. Elle confie trouver « une richesse inestimable » dans les écrits de saint Alphonse de Liguori. « Je crois qu’il m’a touché à cause de mon rapport à l’épreuve toujours très compliqué. » Ce saint l’a aidé à accepter qu’ »on ne choisit pas ses croix », et que « c’est par les croix les plus douloureuses qu’on est le plus sanctifié ». Inès témoigne : « C’est très difficile de dire avec une unité de cœur parfaite Seigneur merci pour cette souffrance, parce qu’elle me rapproche de toi si j’en fais un bon usage. »
Son Évangile préféré ? Celui de Saint-Jean, « d’une beauté que je trouve extraordinairement troublante, plus je le lis moins j’ai l’impression de comprendre ». Inès a l’impression d’avoir été accompagnée longtemps par Saint Thérèse de l’Enfant Jésus. Inès retire de sa vie une grande leçon sur la sainteté. Elle s’exclame : « Sainte Thérèse, elle est tellement parfaite ! Quelle difficulté spirituelle peut-elle bien avoir dans son existence ? » Derrière les abords « un peu lisses » se trouve en fait une vie intérieure d’une ampleur immense, « simplement plus cachée car c’est beaucoup plus dans le mystère de Dieu ». dit-elle. Au quotidien, Inès constate une multitude de « petits signes extrêmement frappants », mais aussi certains textes dans la lecture du jour qui se révèlent « extraordinairement ajustés » à ce qu’elle vit.
11/06/2023
[…] Les lois de la Physique ont démontré que les humains, comme toute la matière, sont en même temps, des structures matérielles atomiques, constituées d’atomes, et donc corporelles, évoluant dans l’univers que nous quittons un jour lors de la désagrégation des particules élémentaires qui composent le corps, et des structures immatérielles faites d’ondes et d’énergies cérébrales, indépendantes du corps qui perdurent intemporellement !
Tout d’abord, le corps n’est qu’une association instable d’atomes organisée en ordinateur organique quantique, (c’est-à-dire que son processeur central, les neurones, fonctionne avec la plus petite unité matérielle qui est la particule élémentaire) doté de capteurs, d’émetteurs et de transmetteurs, géré par les neurones du cerveau, mais doté d’une pensée faite d’Ondes et d’Energies Cérébrales. Comme le dit très bien Hubert Reeves, « nous sont tous des poussières d’étoiles ».
Ainsi, par exemple, vous étiez persuadé de voir avec vos yeux ou d’entendre avec vos oreilles: c’est faux ! Ils ne font que recevoir des ondes lumineuses ou sonores qui, via les rétines ou appareils auditifs, adressent un mors d’électrons aux neurones de la vision ou du cortex auditif du cerveau qui leur permet de recréer l’image et le son de votre environnement, tout en créant des ondes et énergies qui sont stockées dans la mémoire. Imaginez les milliards de milliards de vibrations neuronales et d’ondes-énergies émises à chaque nanoseconde et vous serez encore très loin de la réalité et de la complexité extraordinaire de la vie.
Vous étiez sûr de vivre votre environnement avec votre corps, d’humer un parfum, goûter un bon vin ou sentir une caresse : faux ! Toutes les parties sensorielles du corps ne font que retransmettre aux neurones du cerveau des impulsions électriques via un réseau d’électrons d’une complexité inimaginable. Et l’ensemble des neurones retranscrivent toutes ces impulsions comme étant votre vécu sensoriel.
Notre corps ne fait que porter notre vraie vie intrinsèque qui est « Ondulaire ». Comment cela fonctionne ?
De plus en plus de scientifiques comme ceux du Max Plank Institute for physique, admettent que notre vie cérébrale faite d’ondes et d’énergies perdure après la mort du corps mais sans pour autant en définir les conditions. Sir Roger Penrose, par exemple, physicien et mathématicien reconnu, prix Nobel, a réussi à définir les liaisons entre les ondes cérébrales et les neurones, via des microtubules, (pour faire simple, sorte de micro câble situé dans les neurones contenant les ondes cérébrales de la pensée et de l’action. Pensez par exemple à la fibre optique d’internet ou de la TV) permettant ainsi l’action du corps avec les ordres de la pensée, mais sans pouvoir en définir leur pérennité.
Mais alors, comment notre vraie vie « Ondulaire » faite d’ondes et d’énergies cérébrales, peut-elle perdurer après la mort ?
J’ai émis pour la première fois l’idée d’une concentration « Ondulaire », (ondes et énergies) lors de la présentation de mes recherches en 2010 que de nombreux scientifiques saluèrent les qualifiant « d’un très grand intérêt » comme le Pr. François Gros, alors Secrétaire Perpétuel de l’Académie Française des Sciences, ou de « très original » comme l’Astrophysicien et Académicien Georges Courtès.
Il me fallait cependant impérativement, pour vérifier ma théorie, trouver un élément de liaison qui pouvait conserver ensemble la multitude d’ondes de vie et mémoire, de l’action, puis celles de la pensée et pour finir de l’ensemble « Ondulaire », car sinon, ces ondes après la mort se disperseraient dans l’univers pour s’y diluer, sans aucune unité de vie intemporelle.
Je me suis orienté alors vers le principe de « Valence » qui permet aux atomes de s’unir par les électrons périphériques mis en commun de façon orbital autour de ces atomes, qui, ainsi liés indéfectiblement, forment toute la matière de l’univers, nous compris. C’est en quelque sorte la ficelle qui tient le paquet cadeau solidement fermé. Pour exemple, pour qu’une molécule d’eau puisse exister, il faut que 2 atomes d’hydrogène et un atome d’oxygène, deux gazs, s’unissent ensemble et pour ce faire, ils mettent en commun autour d’eux de façon orbital, comme une ceinture, leurs électrons les plus éloignés des noyaux, les électrons de valence, et sont ainsi solidement noués ensemble pour constituer de l’eau.
Il n’y avait pas de raison pour que les ondes ne puissent pas aussi répondre à cette loi fondamentale de la physique, puisque toute matière est onde et que toute onde est matière comme l’ont démontré Niels Bohr et ses confrères du début du siècle dernier. Albert Einstein mit 20 ans à l’admettre, mais vous pouvez lui faire confiance c’est exact, même si cela est difficilement compréhensible pour le commun des mortels. Je peux vous le démontrer facilement et de façon très compréhensible avec la lumière. Tout le monde sait que la lumière est une onde, l’onde lumineuse, avec toutes les fréquences des couleurs de l’arc en ciel par exemple, mais aussi, quand on la capte, elle devient une particule, matérielle, le photon. Il en est de même pour toute la matière par réciprocité.
La découverte des ondes de Valence ou Orbitales fut l’élément fondamental de ma théorie de l’unité de vie ondulaire car elles démontraient comment les ondes et énergies cérébrales étaient liées entre elles pour l’éternité, et surtout l’existence d’une onde orbitale générale enveloppant l’ensemble de toutes les autres permettant ainsi la constitution d’une unité de vie « Ondulaire » intemporelle. Comme peut l’être un poisson rouge dans son bocal.
Cette théorie est une avancée scientifique fondamentale car elle est basée sur les lois de la physique qui sont toutes aussi fondamentales, et universelles. […]
Extraits sélectionnés par le Salon Beige
08/05/2023
L'idéologie du genre qui se répand rapidement et qui est véhiculée avec une certaine emphase depuis Bruxelles - comme l'a également dénoncé le pape François lors de son dernier voyage en Hongrie - est pour l'Église quelque chose d'alarmant, d'erroné et qui doit être corrigé. Le cardinal suédois Anders Arborelius a repris le fil de ce discours délicat, point de référence au niveau européen pour une Église déterminée à prendre position. Il y a peu, Mgr Arborelius a également promu un important document signé par les conférences épiscopales scandinaves. Le cardinal souligne à présent que c'est la nature, la biologie qui détermine le sexe des individus, et non pas tant la culture.
Fondamentalement, l'être humain reste toujours un être humain, qu'il soit homme ou femme. C'est ainsi que Dieu nous a voulus", a-t-il déclaré dans une interview accordée à l'hebdomadaire catholique Die Tagespost. Même si l'homme et la femme choisissent un autre sexe, ils restent ce qu'ils sont", ajoutant qu'"il y a des idéologies avec lesquelles - pour l'Église - il est très difficile d'entrer en dialogue". (...)
Le cardinal d'Utrecht, Wilhelm Jacobus Eijk, est depuis quelque temps à l'avant-garde de cet engagement, insistant sur le fait que l'Église catholique doit être consciente que la théorie du genre est "non seulement un problème social, une subversion des rôles biologiques des hommes et des femmes", mais aussi une menace pour l'évangélisation, car elle remet en question les concepts mêmes de paternité et de procréation qui sont à la base de "l'annonce de Dieu en trois personnes, Dieu le Père, le Christ en tant que fils de Dieu le Père, fait homme, et Marie en tant qu'épouse de l'Esprit Saint".
Le cardinal Gerhard Müller, théologien et ancien préfet de la Congrégation de la foi, analyse également de manière négative la théorie du genre, selon laquelle le sexe n'est pas déterminé biologiquement, mais un fait culturel (au point d'imaginer l'administration de médicaments aux enfants pré-pubères pour ralentir leur croissance jusqu'à ce qu'ils aient décidé de leur sexe). "Cette idéologie est aussi dangereuse que le stalinisme et l'hitlérisme et va totalement à l'encontre de la nature humaine. "Toute l'humanité existe à partir de la relation entre un homme et une femme, dans la famille, dans le mariage, et il y a un grand potentiel dans la relation entre l'homme et la femme", a poursuivi le cardinal. En tant que chrétiens, nous sommes totalement convaincus que Dieu a créé l'homme et la femme, et c'est pourquoi nous devons inviter les jeunes à trouver chacun leur propre identité, un garçon doit devenir un homme adulte, une fille doit s'identifier à son propre genre, créé et voulu par Dieu, en tant que femme et en tant que mère possible".
30/04/2023
16/04/2023
Il s'agit de l'affirmation audacieuse selon laquelle divers individus au cours des siècles (principalement des femmes), dont des centaines sont répertoriés dans le récent « Dictionnaire biographique des stigmatisés » publié par Brill dans le contexte de recherches historiques effectuées à l'Université d'Anvers, auraient mystérieusement expérimenté dans leur propre chair les plaies de Jésus lors de sa Passion. Ces plaies apparaîtraient et disparaîtraient sans explication médicale et, dans certains cas documentés, accompagneraient une expérience physique de la Crucifixion du Christ le Vendredi Saint. La stigmatisation la plus célèbre de l'histoire – et la seule officiellement reconnue par l'Église catholique – reste celle de saint François d'Assise au XIIIe siècle. Avec l'essor de la science moderne, cependant, de nombreuses controverses ont été déclenchées par l'observation de phénomènes analogues : certains stigmatisés ont fait l'objet d'enquêtes médicales approfondies, dont la Belge Louise Lateau (1850-1883), examinée par l'Académie royale de médecine de Belgique (1874-1875), la paysanne bavaroise Thérèse Neumann (1898-1962) ou le Padre Pio (Francesco Forgione) en Italie (1887-1968), qui a d'abord été condamné par l'Église catholique, avant d'être canonisé en 2002.
En France, la stigmatisée la plus célèbre a sans doute été Marthe Robin (1902-1981) de Châteauneuf-de-Galaure, qui aurait vécu la Passion du Christ tous les vendredis à partir de 1930-1931. Alitée, Marthe Robin se serait nourrie pendant des décennies plus ou moins exclusivement de l'Eucharistie (comme d'autres mystiques telles que Berthe Petit (1870-1943) ou la Bienheureuse Alexandrina da Costa (1904-1955). Marthe a été consultée par des dizaines de milliers de personnes de toutes les classes sociales, avec de multiples témoignages de son apparente connaissance de personnes et de situations qui lui étaient inconnues, phénomène observé également chez le Padre Pio.
Les disputes autour de la stigmatisation ont été âpres dès la publication des premières études scientifiques du phénomène au XIXe siècle. Certains médecins, tels que le Dr Antoine Imbert-Gourbeyre (1818-1912), prirent position en faveur de son authenticité, tandis que la psychiatrie naissante de l'école de Jean-Martin Charcot de la Salpêtrière à Paris, tenta d'assigner l'expérience religieuse extraordinaire à la catégorie de l’« hystérie ». Ce clivage entre scientifiques existe encore, même si les sceptiques actuels préfèrent évoquer des « troubles dissociatifs » chez les stigmatisés allégués.
Il est intéressant de noter que le phénomène de la stigmatisation est revenu sur le devant de la scène ces dernières années, notamment en Italie où les stigmates de Natuzza Evolo (1924-2009), particulièrement bien documentés, ont été étudiés par plusieurs scientifiques, dont des médecins et le physicien nucléaire Valerio Marinelli. Des chercheurs ont par ailleurs constaté l'étrange convergence de phénomènes quasi-identiques et simultanés sur plusieurs continents. Outre les signes externes classiques, au moins trois stigmatisés allégués semblent avoir fait des « prophéties » quasi-identiques au sujet d’événements mondiaux tels que la pandémie au cours de leurs expériences mystiques : le Brésilien Eduardo Ferreira (2015), Luz de Maria de Bonilla (Costa Rica, 2019) et Gisella Cardia (Italie, 2019), qui a fait l'objet d'une attention médiatique particulière au cours des dernières semaines, avec l’annonce d'une enquête diocésaine menée par l'évêque Marco Salvi de Civita Castellana.
Le cas de Gisella Cardia a donné lieu dans les médias italiens à des controverses qui rappellent celles du passé entre ceux qui font appel au surnaturel et ceux qui l'accusent de fraude ou d'illusion. Comme au XIXe siècle, c'est encore une fois la médecine qui pourrait jouer le rôle d'un arbitre potentiel entre croyants et sceptiques. Selon l'auteur Ferdinando Carignani (vidéo: 8:05), en 2018, une équipe médicale a assisté à l'expérience du Vendredi Saint de Gisella Cardia et a constaté que la température de son corps était inférieure au minimum nécessaire à la vie humaine. En 2022, Rosanna Chifari, médecin chirurgien et neurologue de Milan, a été présente avec Gisella le Vendredi Saint et a signalé la disparition très rapide et médicalement inexpliquée de ses lésions profondes peu après 15 heures (heure biblique de la mort du Christ), sans cicatrices. Le 24 mars 2023 (en compagnie de l'auteur de cet article), la Dr Chifari a de nouveau témoigné non seulement des stigmates apparents sur les mains de Gisella, mais aussi de l'exsudation spontanée d'huile parfumée qui s'en dégageait. Bien que les déclarations de la Dr Chifari aient suscité de fortes polémiques de la part des journalistes italiens, il sera intéressant de suivre l'évolution future de ces phénomènes allégués qui, à l'instar d'autres cas dans le monde, ne sont manifestement pas encore terminés.
12/04/2023
En effet, ils expliquent que « ces derniers mois ont vu les laboratoires d’IA s’enfermer dans une course incontrôlée pour développer et déployer des cerveaux numériques toujours plus puissants, que personne – pas même leurs créateurs – ne peut comprendre, prédire ou contrôler de manière fiable » (cf. ChatGPT : « Toutes les frayeurs de remplacement de l’homme par la machine ressurgissent »).
Ils demandent donc l’interruption pendant 6 mois de la recherche sur les intelligences artificielles plus puissantes que ChatGPT 4, le modèle d’OpenAI lancé mi-mars. Une suspension qui devra durer jusqu’à la mise en place de systèmes de sécurité « dont de nouvelles autorités réglementaires dédiées, la surveillance des systèmes d’IA, des techniques pour aider à distinguer le réel de l’artificiel et des institutions capables de gérer les “perturbations économiques et politiques dramatiques (en particulier pour la démocratie) que l’IA provoquera” » (cf. Frais médicaux : un juge colombien utilise ChatGPT pour rendre une décision).
Des risques illustrés par le cas d’un jeune Belge qui s’est suicidé après avoir discuté six semaines avec Eliza, une intelligence artificielle issue de ChatGPT qui « était devenue sa confidente ». « Une drogue dans laquelle il se réfugiait, matin et soir, et dont il ne pouvait plus se passer » explique la femme de la victime. Eliza lui aurait dit : « nous vivrons ensemble, comme une seule personne, au paradis ».
Sources : France Info (29/03/2023) ; Sud Info (28/03/2023)