Le blog du Temps de l'Immaculée.
26/11/2024
Diffusée à des millions d’exemplaires à partir de 1832, la médaille miraculeuse de la rue du Bac, que l’Église fête le 27 novembre, doit sa popularité auprès des fidèles aux nombreux prodiges qui lui sont attribués à une époque où le choléra faisait rage. Mais attention, cette médaille, don de Dieu et de Marie aux hommes n’est pas à confondre avec un grigri ou un porte-bonheur.
Ce passionnant article d'Aleteia écrit par Anne Bernet explore l'histoire de la médaille miraculeuse, apparue suite aux apparitions mariales à sœur Catherine Labouré en 1830. Son succès fulgurant, notamment lors de l'épidémie de choléra de 1832, est attribué à de nombreux prodiges et guérisons. L'article souligne le contexte politique et religieux de l'époque, ainsi que le rôle de l'archevêque de Paris dans la diffusion de la médaille. Il insiste sur le caractère religieux de la médaille, la distinguant d'un simple porte-bonheur, et met l'accent sur sa fonction de protection spirituelle. Finalement, l'article célèbre la médaille comme un don divin, dont la popularité ne s'est jamais démentie.